Antoinette (52 ans) est mariée, mère de trois enfants et grand-mère. À côté de sa vie de famille, elle est dentiste dans une clinique ; un travail prenant qui lui procure beaucoup de satisfaction. Vers l’âge de 46 ans, elle constate d’un coup que la ménopause a commencé, tant sur le plan physique que mental. Et cette situation affecte aussi sa relation avec son mari. « Cela m’a causé beaucoup de stress. Je ne voulais pas que notre relation en souffre. »
Une fois en ménopause, elle a souffert de pas mal de symptômes qui l’ont mis’ à l’épreuve, mais aussi sa relation avec son mari. Antoinette : « J’avais des bouffées de chaleur qui me tombaient dessus de nulle part, mon humeur changeait en un instant et je n’avais pratiquement plus aucune envie de faire l’amour. C’était comme si j’étais enfermé dans un corps que je ne connaissais pas. »
Le partenaire peut parfois avoir du mal à accompagner sa femme qui est mal dans sa peau et qui a l’impression d’être quelqu’un d’autre. « Mon mari a été très patient, mais je pouvais voir la frustration dans ses yeux quand je m’énervais pour une boutade ou quand je le repoussais. Il ne savait plus vraiment quoi faire », dit-elle franchement.
Antoinette ne se sentait pas bien et elle était vraiment patraque. Elle voulait retrouver qui elle était et surtout, son dynamisme d’avant. « Je décidai de tout faire pour être plus à l’aise avec mon mari et moi-même. Je voulais sauver ma relation. D’abord, j’ai changé mon alimentation. J’avais beaucoup lu sur l’influence de la nutrition sur votre équilibre hormonal. C’était facile de commencer par là. »
Il fallait manger plus de fruits et légumes et à éviter au mieux café et alcool. « Je remarquai que le sucre, le café et l’alcool avaient un effet sur mon humeur et mes bouffées de chaleur. Mais renoncer à ces produits a été plus difficile que je ne le pensais », admet-elle en toute franchise.
Une fois les changements apparus, ma motivation a augmenté. Je me suis mise à chercher d’autres moyens de contrôler mes symptômes.
« J’ai alors demandé conseil et commencé à prendre des compléments nutritionnels spécialement conçus pour soulager les symptômes de la ménopause. J’ai pris de l’actée à grappes noires, du magnésium, des oméga 3 et de la vitamine D. »,explique-t-elle.
L’actée à grappes noires ? Une plante médicinale qui peut soulager les bouffées de chaleur et les sautes d’humeur en raison de son effet semblable à celui des œstrogènes*. Le magnésium ? A un effet calmant sur le système nerveux. Oméga 3 et vitamine D ? Contribuent à améliorer l’humeur*.
Le résultat ? « Après quelques mois, j’ai remarqué des changements. Mes bouffées de chaleur sont devenues moins fréquentes et mon humeur est devenue plus stable. Je me suis sentie à nouveau moi-même et l’étincelle entre mon mari et moi est lentement revenue », dit-elle en souriant.
Sur les conseils de sa sœur, Antoinette a fait en sorte d’être plus en paix avec elle-même. Ce qui est assez compliqué en raison de sa charge de travail. « Pour moi, pression et stress étaient une chose normale. Quand j’ai commencé des exercices de respiration, je me suis apaisée. Ma sœur m’a donné un livre intéressant qui contenait de nombreux exercices utiles. J’ai trouvé incroyable que quelque chose d’aussi simple que la respiration puisse avoir un tel effet. »
« C’est la somme de tous les petits gestes, des choix en matière de santé, des compléments et des exercices de relaxation qui m’ont aidée à traverser la ménopause et à sauver ma relation », explique Antoinette. « Je suis désormais plus en paix avec moi-même et je me suis rendu compte que mon mari et moi pouvions traverser n’importe quelle période difficile, car nous nous écoutons attentivement et continuons à communiquer. L’intimité avec mon mari est revenue. »
J’espère que mon témoignage réconfortera d’autres femmes et les inspirera. Si je peux le faire, vous aussi
Antoinette tient toutefois à souligner qu’il y a eu des hauts et des bas : « Il y a eu des jours où je me sentais encore vraiment dévasté, malgré les efforts que je faisais. Je me demandais même pourquoi je le faisais, mais je suis contente d’avoir persévéré. »
Son conseil aux autres femmes ? « Cherchez de l’aide ! Auprès de votre partenaire ou d’un expert. D’accord, vous pouvez mener votre barque de front, mais ce n’est pas obligatoire. Quelqu’un peut vous donner l’énergie et la volonté de persévérer même lorsque vous vous sentez déprimée. »
*Allégation(s) de santé sous réserve d’approbation par la Commission européenne.