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Temps de lecture : env. 4 minutes
Rédaction SeeMe-nopause
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Dernière mise à jour: 25-08-2025
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Monique (48 ans) : “Mon corps ne m’appartenait soudainement plus”

Monique est mère de deux filles et occupe un poste d’employée administrative dans une entreprise du bâtiment. Elle n’a jamais été particulièrement mince ; enfant, elle était déjà ronde et, durant son adolescence, elle recevait fréquemment des remarques concernant son poids. Ses parents avaient une hygiène de vie peu saine. La friteuse était souvent utilisée et cuisiner était davantage une corvée qu’un plaisir. Des années plus tard, Monique a appris à cuisiner par elle-même et a trouvé un équilibre entre une alimentation saine et la pratique du sport. Elle a réussi à stabiliser son poids durant de nombreuses années, mais tout a changé aux alentours de ses 45 ans.

Mon énergie s’amenuisait, mon humeur était instable et le chiffre sur la balance ne cessait d’augmenter. Quoi que je fasse, je continuais à prendre du poids.

Tout a commencé par des nuits blanches et des envies de sucre

Un jour, Monique a eu un déclic. “Je venais de me jeter sur le cheesecake restant de l’anniversaire de ma fille. Je me sentais à la fois faible et en colère. Et soudain, je me suis dit : cela ne peut plus durer. J’ai repris le sport, j’ai surveillé mon alimentation de façon stricte et j’ai rangé la balance. Je voulais me donner trois mois pour constater des résultats.” 

Mais après ces trois mois, ses vêtements étaient encore plus serrés. “J’ai ressorti la balance et j’ai vu que j’avais pris trois kilos. J’ai eu le sentiment que tous mes efforts avaient été vains.” 

“Peut-être que c’est ta thyroïde”

Sur les conseils de sa fille, infirmière, Monique a fait réaliser des analyses sanguines. “Je me disais : cela doit venir de ma thyroïde. Mais tout était normal.” 

Son médecin traitant lui a conseillé de réduire sa consommation de glucides et l’a orientée vers une intervention combinée sur le mode de vie (parcours GLI). “J’ai commencé avec beaucoup de bonne volonté en me disant : cela va changer les choses. Mais malgré tous mes efforts et l’accompagnement, je continuais à prendre du poids. Au cours de toute la période, environ 20 kilos ont été pris.” 

Je faisais tout correctement, mais mon corps me résistait.

Le passage à la médication

Lorsque Monique a lu des informations sur des traitements comme les injections de GLP-1 (sémaglutide), elle a décidé d’en discuter à nouveau avec son médecin traitant. “Elle m’a écoutée sans jugement et a examiné avec moi si je remplissais les critères. Comme mon IMC était supérieur à 30, que j’avais déjà suivi un parcours GLI et que la ménopause semblait jouer un rôle important, j’ai pu commencer.” 

Les premières semaines ont été une période d’adaptation. “J’avais moins d’appétit et je me sentais parfois nauséeuse. Pour la première fois depuis des années, la balance a recommencé à baisser. C’était exactement ce dont j’avais besoin.” 

Un nouveau départ

Progressivement, Monique a perdu du poids. “Après des mois d’efforts, de traitement et avec le soutien de mon médecin traitant, j’ai recommencé à me reconnaître dans le miroir. Mon énergie est revenue, j’avais de nouveau envie de profiter de la vie et d’être proche de mon mari. Non pas pour lui plaire, mais parce que je me sentais à nouveau belle pour moi-même.” 

Le conseil de Monique pour les autres femmes

“Ne soyez pas trop sévères envers vous-même et demandez de l’aide si vous n’y parvenez pas. Vous n’êtes pas obligée de traverser cela seule.” 

Si, comme Monique, vous souhaitez savoir si vous pouvez bénéficier d’une Intervention Combinée sur le Mode de Vie (GLI), vous pouvez le vérifier ici. Si cela ne correspond pas à votre situation, il existe également d’autres options de traitement que vous pouvez demander via notre site. 

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