Annelies (52 ans) : « Au début, je me suis dit que c’était juste une douleur musculaire. »

Annelies, 52 ans, est en ménopause depuis plusieurs années. Elle possède son propre salon de beauté où elle travaille avec plaisir depuis pas mal de temps. Au début de sa ménopause, elle a d’abord remarqué les symptômes habituels de la ménopause. « Je me réveillais souvent la nuit, j’étais tendue et plus facilement irritée », confie-t-elle. « J’avais l’impression que cela faisait partie du problème. Je n’étais pas vraiment gênée jusqu’au jour où je constate que j’avais des douleurs musculaires à tout bout de champ. »

D’abord des raideurs et des douleurs musculaires

L’arthrose se développe en général petit à petit, au fil des mois ou des années. Idem pour Annelies. « J’ai commencé par ressentir une légère douleur dans les mains et les genoux. J’avais du mal à faire certains mouvements et je me réveillais, toute raide le matin. Au début, j’ai pensé qu’il s’agissait simplement d’une douleur musculaire. C’est la vieillesse et je faisais pas mal de sport », explique-t-elle.  

Mais la douleur a augmenté. Je me suis vu limiter dans mes activités, y compris au salon. « Je suis esthéticienne et j’ai mon propre cabinet. Mes mains ? Mon outil principal. Au bout d’un moment, j’ai vraiment commencé à m’inquiéter. » 

Oui, c’est bien de l’arthrose

Elle s’est rendu compte que ses symptômes étaient graves. « Je craignais que quelque chose ne tourne pas rond, alors je suis allée voir mon médecin traitant. J’ai subi un examen approfondi et des radios ont été effectuées. Il s’est avéré que je souffrais d’arthrose. » La nouvelle l’a frappée de plein fouet. « J’ai été choquée et confuse. Comment pouvais-je avoir de l’arthrose ? Je n’avais que cinquante ans ! »

J’ai été choquée et confuse. Arthrose ? Je n’avais que 50 ans !

Choc et soulagement

À l’époque, Annelies ne savait pas grand-chose de cette maladie qui touche plus de 40 millions de personnes en Europe. L’arthrose ? Une forme d’usure des articulations qui survient souvent chez les personnes âgées, mais aussi parmi les plus jeunes. « Je dois vous dire honnêtement que je ne savais pas que l’on pouvait avoir de l’arthrose à 50 ans », dit-elle. « Le médecin traitant m’a alors dit que c’était probablement la combinaison de mon âge et des changements hormonaux de la ménopause qui avait provoqué l’apparition de l’arthrose. » 

Mais elle est aussi heureuse de savoir enfin ce qui se passe. « En même temps, je me suis sentie soulagée. Je savais de quoi il s’agissait ET quoi faire pour y remédier. » 

Les médicaments, c’est bien, mais il y a mieux, non?

Le médecin lui a prescrit des médicaments antidouleurs et anti-inflammatoires. Annelies : « J’étais si heureuse de pouvoir à nouveau mieux travailler dans le salon ! C’était vraiment ma plus grande crainte : ne plus pouvoir exercer ma profession. » 

Après un certain temps, elle a commencé à se demander quelles autres options s’offraient à elle. « J’en ai eu assez de ces médicaments à un moment donné. Je me suis dit : Je ne vais pas prendre des comprimés tout le temps, si ? Quelque chose d’autre doit être envisageable. » En effet. 

«J’ai rapidement constaté une amélioration»

« Non pas que je vivais de façon anarchique, mais en examinant de plus près les autres solutions, j’ai découvert que je pouvais adopter des changements qui seraient plus bénéfiques pour mes muscles et mes articulations. » 

Comment ça s’est passé ? « J’ai toujours aimé la facilité. Faute de temps, j’avalais deux petits pains blancs avec du fromage à tartiner, ce qui constituait à mes yeux un bon déjeuner, et je prenais souvent une barre de céréales ou de protéines comme en-cas. Oui, et du coca. Une canette bien glacée pendant une journée de travail bien remplie, c’était le top pour moi. » 

J’ai désormais trouvé la combinaison idéale pour moi entre un mode de vie sain et les médicaments.

Elle a décidé d’adopter une approche différente. Son credo ? Des matières grasses saines, des légumes frais et beaucoup de fruits au lieu de biscuits ou de barres. « J’ai rapidement constaté que le tout fonctionnait à merveille. Pour mes articulations, mais aussi pour mon niveau d’énergie. » 

Une amie m’a recommandé de prendre du magnésium, de la vitamine C et des oméga 3, qui jouent tous trois un rôle important dans le ralentissement de l’évolution de l’arthrose. Cela aussi a aidé Annelies. « Je suis vraiment contente d’avoir le contrôle de mon corps. L’arthrose ne disparaîtra pas, mais je me sens beaucoup plus in control qu’au moment où j’ai été diagnostiquée. J’ai désormais trouvé la combinaison idéale pour moi entre un mode de vie sain et les médicaments. » 

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